Parce que la nature humaine est bonne
Les recherches d’Alice Miller et plus récemment d’Olivier Maurel défendent l’hypothèse que la nature humaine est bonne : l’homme ne serait pas prédisposé à la violence ou à la perversion.
Lutter contre la violence éducative ordinaire
Actuellement des pratiques dites “éducatives” tels que les coups, les tapes,
les menaces, les cris, les dévalorisations ; pensées comme inoffensives sont banalisées, voire encouragées. Il s’agit de la «violence éducative ordinaire».
Une éducation non violente et bienveillante est possible : la parentalité positive.
Protéger capacité d’attachement et empathie
Les neurosciences démontrent que frapper et humilier les enfants portent atteinte au bon développement de leur cerveau, notamment la capacité de reconnaître et de ressentir les émotions des autres et d’établir tout au long de la vie des relations harmonieuses.
Une cause d’intérêt général au service de l’humanité
Parce que la violence éducative ordinaire construit, en amont, l’antichambre des comportements violents, le développement de la parentalité positive occupe une position préventive déterminante.